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Libre... 

Changer de vie, changer de métier ? C’est possible !

Michel BRASSINNE
START internet & référencement
michel.brassinne@gmail.com
04 94 77 80 7506 62 08 75 85 

"Je ne serai plus obligé de vivre ma vie quand le soleil est couché" dit l’un des 38 millions d'américains qui viennent de quitter leur travail au cours du premier semestre 2022. Sans même avoir en vue un autre job. C'est le "big quit", la grande démission. Une tendance qui touche nombre de pays techniquement développés. En France, c’est 1 million de démissions de CDI au cours du premier semestre (Source Dares - ministère du travail) et en regard 355.400 emplois vacants. Le « temps libre » imposé par le Covid est passé par là et à fait cogiter sur le sens de la vie.

Fini le travail de serveur !
Chez un restaurateur indélicat (souvent un pléonasme), qui fait faire des heures sup et ne les paie pas aux jeunes qui se décarcassent pour lui jusqu’à 1 heure du mat. Jamais plus serveur !
Il manque aujourd’hui 220.000 employés ! La mort dans l’âme, certains augmentent les salaires ; d’autres, font appel à des tunisiens, pour qui le Smic c’est la Californie. Au lieu des 273 €, moyenne des salaires en Tunisie. A décharge des restaurateurs, les rares postulants, même mieux payés, manquent pour la plupart de motivation et disparaissent à la moindre difficulté.

Fini le travail d’infirmière à l’hôpital public, fini le travail en EHPAD
Un travail jusqu’à l’épuisement. De plus, la culpabilité s’installe, faute de pouvoir prendre le temps de bien soigner les malades ! Elles passent à infirmière libérale. Idem dans le monde de l’aide à domicile où, payées 10,47 € brut de l’heure, les aides à domicile usent leur propre véhicule et ne sont pas remboursées ni pour le premier trajet domicile-travail, ni pour le dernier, quelle que soit la distance. Et après, il y en a qui se demandent pourquoi le métier est en tension !

Conducteur de car scolaire ? Terminus !
Début septembre 2022, c’est 8000 postes de conducteur qui manqueront à l’appel, selon la Fédération nationale des transports de voyageurs (FNTV). De quoi affecter le transport de 400.000 élèves ! Payé à peine plus que le smic, soumis à des incivilités croissantes et des horaires calés en tout début de matinée et puis plus rien jusqu’à 16 heures, le métier est abandonné. Terminus, tout le monde descend !

Fini le travail d’enseignant !
Les enseignants français sont deux fois moins payés qu’en Allemagne, à peine défendus par les rectorats, frileusement engoncés dans leur unique mantra : « pas de vague ». Des enseignants harcelés et parfois frappés par des parents d’élèves mécontents, peu respectés par les élèves, parmi lesquels certains refusent Darwin et la Science pour tenter d’imposer l’obscurantisme religieux. Trop dur ! Début septembre 2022, maintenant, il manquera 2000 enseignants ! Eux aussi passent dans le privé pour des salaires entre 3500 à 4000€.

On voit que l’Etat se désengage partout de la sphère publique. Quel paradoxe ! Il n’augmente pas les salaires mais colmate, communique, cautérise les conséquences, sans soigner les causes : à coup de primes, qui ne sont comptabilisées ni dans les retraites ni pour obtenir un prêt... Certains commencent à se demander si le pire ennemi du service public n’est pas l’Etat lui-même, pour le plus grand profit du « tout privé »...

LA FUITE OU LA RECONVERSION ?

Beaucoup ont découvert à l’occasion du travail partiel ou du chômage contraint de la période Covid qu’il existait d’autres manières de vivre. Moins riche, mais à la campagne, plutôt que dans les périphéries urbaines avec métro, boulot, dodo pour seul refrain. Certains fuient donc, avec de bonnes raisons ; d’autres, pensent très fort à se reconvertir. Le Covid n’a en fait été qu’un catalyseur d’une situation de tension sur certains emplois, qui en fait a commencé en 2016.

9 FRANÇAIS SUR 10 GASPILLENT 5000€/AN DE DROITS A LA FORMATION !

Et pourtant l’État s’engage vraiment dans un domaine, celui de la formation. Le projet de loi de finance 2023 (le budget de l’Etat) alloue 26 milliards de plus au droit à la formation. Cela répond à une tendance forte : la moitié des actifs pense changer de métier à plus ou moins long terme, dont un tiers (35%) d’ici deux ans, d’après la troisième édition du baromètre de la formation et de l’emploi (février 2022)

Mais là, ce sont les bénéficiaires qui ne sont pas au rendez-vous ! Neuf français sur dix perdent chaque année la possibilité que l’État lui offrait : 5000 € de formation. 90 % des français ne savent pas comment fonctionnent ces aides à la formation, qui leur permettraient de changer de métier, de changer de vie ! Voire transformer leurs heures acquises de DIF (Droit individuel à la formation) en euros ! De plus, le harcèlement téléphonique par des officines de formation douteuses a entraîné un certain rejet (ne jamais donner suite !). Les gens ne savent pas à qui s’adresser de manière fiable, alors qu’internet répond à toutes les questions : il suffit de taper CPF, OPCO, DIF, entre autres, pour tout savoir.

Des centaines de formations existent et dans tous les domaines possibles : de l’amélioration du niveau du métier actuel jusqu’à la « formation en gestion d’une onglerie », au piercing ou la naturopathie, pour évoquer les extrêmes. Certains domaines étant cependant plus ouverts à financement que d’autres. L’époque n’est plus où des journalistes facétieux avaient déposé une formation à la « course en sac, pour ses vertus psycho-thérapeutiques ». Aujourd’hui, le contrôle est très rigoureux. Ce qui est normal, puisque ce sont des deniers publics.

QUI EST ÉLIGIBLE AUX FINANCEMENTS D’ÉTAT A LA FORMATION

Ce sont les « actifs » : c’est-à-dire ni les étudiants, ni les retraités, mais les employés, les chômeurs et les entreprises. Il est même prévu que les repas soient pris en charge et dans certains cas les frais de déplacement et les nuitées à l’hôtel !

COMMENT S’Y PRENDRE ?

Pour les chômeurs, c’est évidemment Pole Emploi qui détient le pouvoir de donner accès à des formations prises en charge par l’argent des impôts. Pour les autres ce sont les organismes de formation agréés. Pas ceux qui vous harcèlent au téléphone pour bénéficier de votre manne anuelle, mais des organismes sérieux, certifiés QUALIOPI, habilités à utiliser votre CPF (compte personnel formation), ouvrant sur des formations qualifiantes et des VAE (validation des acquis de l’expérience). Voir « organismes de formation certifiés Qualiopi » sur internet pour découvrir les organismes sérieux et la liste de formations.

UN EXEMPLE VAROIS : START internet & référencement

Cet été, la micro entreprise START internet & référencement (mon entreprise) est devenu « organisme de formation », et formera fin septembre ses premiers élèves : une formation à la « création de sites internet bien référencés », 35 heures – 1500 €, avec prises en charge totale ou partielle du coût de la formation par les aides étatiques. Des formations qualifiantes, ouvrant sur un vrai travail. Enfin une réponse à un slogan de START : « Internet pour tous ! ». Une formation qui intéresse déjà nombre d’entrepreneurs, pmi, pme et auto-entrepreneurs.
Et en matière de référencement, pas de promesses : des faits vérifiables. Comme le sont la plupart des sites de START, en page 1 du moteur de recherche Google pour des recherches génériques : le Potager du Cabanon (bio83.com) avec la recherche « bio var », leader varois de la vente directe de fruits et légumes bio sur internet; Domi Valorisation à La Roquebrussanne pour «rachat de fils électriques dans le var » avec son « recyclage-achat-vente-metaux-var.com » ou encore Sed-Télevision, leader Google en réponse à « dépannage tv antenne à Brignoles ». Sans oublier bien sûr que « journal pour faire connaître son entreprise dans le var » fait apparaître à la Une de Google, votre magazine Lou Nistoun ! Mais cela, nos fidèles annonceurs le savent bien (au passage, il y a maintenant lou-nistoun.com et lounistoun.com, sans tiret, pour les diaporamas et autres stories).

En soutien à START, une coopérative, la SCORF, leader dans le domaine de la gestion des formations soutenues par les aides de l’État : elle gère l’ensemble des demandes de financement de formation (la vôtre peut être dans quelques jours) et fait les recherches de financement auprès des organismes détenteurs de fonds sur la bases de vos souhaits de formation. Et ce, à la place de START, uniquement centrée sur sa formation au référencement. C’est donc toute une structure qui est à votre disposition. Des dizaines de personnes capables de se frayer un chemin (et c’est pas rien) dans les méandres amazoniens de l’administration !

Pour en savoir plus sur vos droits au financement de formation, écrivez à michel.brassinne@gmail.com

ARTICLE A SUIVRE : INTERNET ÇA VAUT LE COUP ? ET LE COÛT ?

Michel BRASSINNE
START internet & référencement
Article publié dans LOU NISTOUN – N°194 – Daté septembre 2022 

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